Rongier rompt le silence sur les tensions entre l’OM et Roberto De Zerbi : “La crise a nourri notre combat”
Alors que des rumeurs circulent sur les tensions entre les joueurs de l’Olympique de Marseille et l’entraîneur Roberto De Zerbi, Valentin Rongier a profité de l’occasion pour mettre les choses au clair et donner son point de vue. A l’issue de la victoire 3-2 contre Toulouse au Vélodrome, le milieu de terrain français a dévoilé de nouvelles informations sur les tensions internes auxquelles l’équipe était confrontée.
Rongier met les choses au clair sur la mentalité de l’OM
Rongier a évoqué la semaine agitée qui a suivi la défaite décevante contre Reims, qui a été suivie de frictions importantes à l’entraînement. Tout en reconnaissant les difficultés, il a rassuré les fans sur l’état d’esprit de l’équipe après la victoire contre Toulouse. Le milieu de terrain a souligné que l’adversité rencontrée au cours de la semaine a permis de redécouvrir l’esprit combatif qui avait fait défaut ces dernières semaines.
Les mots durs de De Zerbi font des étincelles dans l’équipe
L’ancien joueur de Nantes admet que, même si le groupe aurait préféré une atmosphère plus harmonieuse, l’approche dure de De Zerbi a semblé faire des étincelles dans l’équipe. “C’est dommage, mais c’est grâce à cette semaine difficile que nous avons retrouvé la mentalité que nous avions perdue lors de certains matches”, a expliqué Rongier en zone mixte. Il a souligné que la passion et l’unité affichées sur le terrain contre Toulouse prouvaient qu’il n’y avait pas de clivage majeur au sein de l’équipe.
Regarder vers l’avenir : Confiance pour le reste de la saison
Avec la crise apparemment derrière eux, Rongier est optimiste quant aux perspectives d’avenir de l’OM, en particulier pour le prochain match contre Monaco. Le joueur croit fermement que si l’équipe conserve cet esprit combatif, une place en Ligue des champions est à portée de main. “Si nous gardons cet état d’esprit, je suis persuadé que nous finirons en Ligue des champions, je vous le garantis”, conclut Rongier.